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Jeune Homme

*COURAGE*


Jeune

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Dieu et toi-même

Pendant que j'étais dans les montagnes, j'eus un long entretien avec un jeune être humain qui était craintif et abattu. Faute de trouver réconfort et courage dans la fréquentation de ses camarades, ce jeune être humain avait recherché la solitude des hauteurs; il avait grandi avec un sentiment d'impuissance et d'infériorité. Ces tendances naturelles avaient été accrues par nombre d'épreuves que le jeune garçon avait subies au cours de sa croissance, notamment la perte de son père quand il avait douze ans. Lorsque je le rencontrais, je lui dis : « Salut, mon ami, pourquoi es-tu si abattu en un si beau jour ? S'il est arrivé quelque chose qui te désole, peut-être puis-je t'aider de quelque manière. En tous cas, j'éprouve un réel plaisir à t'offrir mes services. »

Le jeune être humain était peu disposé à parler. Je tentais une seconde approche de son âme en disant : « Je comprends que tu montes dans ces montagnes pour fuir les gens; il est donc naturel que tu ne désires pas t'entretenir avec moi, mais j'aimerais savoir si tu es un familier de ces montagnes. Connais-tu la direction de ces pistes ? Et pourrais-tu par hasard m'indiquer le meilleur chemin pour se rendre à la ville ? » Or, le jeune être humain connaissait très bien ces montagnes; il s'intéressa tellement à m'indiquer le chemin de la ville qu'il dessina toutes les pistes sur le sol en donnant force détails. Mais il fut très surpris et intrigué quand, après lui avoir dit au revoir et fais semblant de prendre congé, je me tournais subitement vers lui en disant : « Je sais très bien que tu désires être laissé seul avec ta tristesse; mais il ne serait ni aimable ni juste de ma part de recevoir de toi une aide si généreuse pour trouver le meilleur chemin vers la ville, et ensuite de te quitter avec insouciance sans avoir fait le moindre effort pour répondre à ton appel intérieur. Tu as besoin d'aide et de directives au sujet de la meilleure route vers le but de ta destinée que tu recherches dans ton coeur, tandis que tu t'attardes ici, sur le flanc de la montagne. De même que tu connais bien les sentiers conduisant à la ville pour les avoir parcourus maintes fois, de même moi, je connais bien le chemin de la cité de tes espoirs déçus et de tes ambitions contrariées. Et, puisque tu m'as appelé à l'aide, je ne te décevrai pas. » Le jeune être humain, presque rendu muet de surprise, réussit cependant à balbutier : « Mais, je ne t'ai rien demandé. » Alors, posant sur son épaule une main légère, je répondis : “ Non, mon fils, pas avec des mots, mais tu as fait appel à mon coeur avec des regards exprimant un désir ardent. Mon enfant, pour celui qui aime ses semblables, il y a un éloquent appel à l'aide dans ton expression de découragement et de désespoir. Assieds-toi près de moi pendant que je te parlerai des sentiers du service et des grandes routes du bonheur qui mènent des chagrins du moi aux joies des activités bienveillantes dans la fraternité des êtres humains et dans le service du Dieu céleste. »

Alors le jeune être humain désira vivement causer avec moi; il tomba à mes pieds, me suppliant de l'aider, de lui montrer le chemin pour s'évader de son monde de chagrins et d'échecs personnels. Je lui dis : « Mon ami, lève-toi ! Tiens-toi debout comme un être humain. Tu peux être entouré d'ennemis mesquins et être retardé par un grand nombre d'obstacles, mais les choses importantes et réelles de ce monde et de l'univers sont de ton côté. Le soleil se lève chaque matin pour te saluer, exactement comme il le fait pour l'être humain le plus puissant et le plus prospère de la terre. Regarde : tu as un corps robuste et des muscles vigoureux, tes facultés physiques sont supérieures à la moyenne. Naturellement, tout cela est à peu près inutile tant que tu restes assis ici, sur le flanc de la montagne, et que tu te lamentes sur tes malheurs, vrais et imaginaires. Mais tu pourrais faire de grandes choses avec ton corps si tu voulais te hâter vers les endroits où de grandes choses attendent d'être faites. Tu essaies de fuir ton moi malheureux, mais cela ne peut se faire. Toi et tes problèmes de vie sont réels; tu ne peux leur échapper tant que tu vis. Mais regarde encore, ton mental est clair et capable. Ton corps robuste a un mental intelligent pour le diriger. Mets ton mental à l'oeuvre pour résoudre ses problèmes, apprends à ton intellect à travailler pour toi. Refuse d'être dominé plus longtemps par la peur comme un animal sans discernement. Ton mental devrait être ton allié courageux pour résoudre les problèmes de ta vie; cesse plutôt d'être, comme tu l'as été, son pitoyable esclave apeuré et le valet du découragement et de la défaite. Mais plus précieux que tout, ton potentiel d'accomplissement effectif est l'esprit qui vit en toi; il stimulera et inspirera ton mental pour qu'il se contrôle lui-même et anime ton corps si tu veux le libérer des entraves de la peur; tu rendras ainsi ta nature spirituelle capable de te délivrer peu à peu des maux de l'oisiveté grâce à la présence et le pouvoir de la foi vivante. Alors, cette foi vaincra aussitôt ta peur des êtres humains par l'irrésistible présence de ce nouvel et omnipotent amour de tes semblables, qui remplira bien vite ton âme à déborder parce que tu auras pris conscience, dans ton coeur, que tu es un enfant de Dieu. »

« Aujourd'hui, mon fils, tu dois naître à nouveau, rétabli en tant qu'être humain de foi, de courage et de service dévoué aux êtres humains pour l'amour de Dieu. Quand tu seras ainsi réadapté en toi-même à la vie, tu seras également réadapté à l'univers; tu seras né de nouveau – né de l'esprit – et désormais toute ta vie ne sera plus qu'un accomplissement victorieux. Les malheurs te fortifieront, les déceptions t'éperonneront, les difficultés te poseront des défis et les obstacles te stimuleront. Lève-toi, jeune être humain ! Dis adieu à la vie de peur servile et de fuite lâche. Retourne vite à ton devoir et vis ta vie charnelle comme un fils de Dieu, un mortel dévoué au service ennoblissant de l'être humain sur la terre et destiné au magnifique et perpétuel service de Dieu dans l'éternité. »

« Intéresse-toi à tes semblables; apprends à les aimer et guette l'occasion de faire pour eux une chose dont tu es sûr qu'ils la désirent. Un être humain qui souhaite avoir des amis doit lui-même se montrer amical. »

« Si tu veux vraiment trouver Dieu, ce désir est en lui-même la preuve que tu l'as déjà trouvé. Ton problème n'est pas ton incapacité de trouver Dieu, car le Père t'a déjà trouvé; il provient simplement de ce que tu ne connais pas Dieu. Mais il te donnera un coeur pour le connaître et il sera ton Dieu. Aie du courage pendant que tu deviens un être humain; après avoir nourri le corps, apprends également à nourrir l'âme. Mon Père céleste sera avec toi et marchera devant toi. »

« Je ne te parle pas en pure perte, car tu es capable de percevoir la signification de ce que je dis. L'esprit du Père peut t'instruire et te sauver parce que tu es apte à la filiation. Ton mental est normal et il ne te manque pas l'aptitude à répondre aux directives de l'esprit. »

« Rappelle-toi qu'il y a deux êtres auxquels tu ne peux échapper – Dieu et toi-même. Où que tu ailles, tu t'emmènes toi-même et tu emmènes l'esprit du Père céleste qui vit dans ton coeur. Mon fils, n'essaye plus de te tromper toi-même; attelle-toi à la pratique courageuse de faire face aux évènements de la vie; appuie-toi fermement sur l'assurance de ta filiation avec Dieu et sur la certitude de la vie éternelle. Aie dorénavant pour objectif d'être réellement un être humain, un être humain décidé à affronter bravement et intelligemment la vie. »

Enfant égaré

La plupart des êtres humains ressemblent à un enfant égaré. Ils perdent beaucoup de temps à pleurer dans la crainte et à souffrir dans le chagrin, alors qu'en vérité ils se trouvent tout près du salut et de la sécurité, de même que ce jeune être humain n'était pas loin de sa maison. Tous ceux qui connaissent le chemin de la vérité et jouissent de l'assurance de connaître Dieu devraient considérer comme un privilège, et non comme un devoir, d'offrir leurs conseils à leurs semblables pour les seconder dans leurs efforts pour trouver les satisfactions de la vie. Ne ressentons-nous pas une joie suprême à rendre ce jeune être humain à sa famille ? De même, ceux qui conduisent les êtres humains à Dieu éprouvent la satisfaction suprême du service humain.

Toutefois, lorsqu'un être humain n'a pas soif de vérité, qu'il n'est pas mécontent de lui-même, il n'est pas prêt à appeler à l'aide, et les yeux de son mental ne sont pas ouverts pour recevoir la lumière destinée à l'âme. Si ce jeune être humain n'avait pas été mûr pour la moisson du salut, il faudrait lui accorder un délai pour que les épreuves et les difficultés de la vie le préparent à recevoir la sagesse et la connaissance supérieure.

On ne peut révéler Dieu à ceux qui ne le cherchent pas, ni conduire des âmes réticentes aux joies du salut. Il faut que les expériences de la vie aient donné à l'être humain la soif de la vérité ou bien qu'il désire connaître Dieu par suite du contact avec la vie de ceux qui connaissent le divin Père avant qu'un autre être humain puisse agir comme intermédiaire pour conduire un tel compagnon mortel à croire au Père qui est aux cieux. Si nous connaissons Dieu, notre véritable travail sur terre consiste à vivre de manière à permettre au Père de se révéler à travers notre vie. Ainsi, toutes les personnes qui recherchent Dieu verront le Père et recourront à notre aide pour mieux connaître le Dieu qui réussit à s'exprimer de cette manière dans notre vie.

C'est la présence de l'Esprit divin, l'eau vive, qui empêche la soif dévorante du mécontentement des mortels et l'indicible faim du mental humain non spiritualisé. Les êtres mus par l'Esprit “ n'auront jamais soif, car cette eau spirituelle sera chez eux une source de satisfaction jaillissant jusque dans la vie éternelle ”. Les âmes ainsi arrosées divinement ne dépendent presque plus de l'environnement matériel pour la joie de vivre et les satisfactions de l'existence terrestre. Elles sont spirituellement illuminées et rafraichies, moralement renforcées et douées.

Désir de valeurs et refus des dogmes

La vie spirituelle tient une place importante chez les jeunes mais se traduit peu par la pratique religieuse. L'Église leur semble figée et ils se méfient des dogmes. En revanche l'amour et l'entraide leur paraissent prioritaires. Et ils prônent respect d'autrui et tolérance.

La vie, l'amour, le bien, le mal, le juste, l'injuste, la mort... Ces grandes questions qui taraudent l'humanité, les jeunes se les posent bien sûr. Ils en discutent régulièrement. Ils les méditent parfois. Certains les placent dans une perspective religieuse, d'autres pas.

Telles sont les grandes orientations que dessine l'état sur la spiritualité chez les jeunes. À la question « Y a-t-il une place pour la vie spirituelle ? », la réponse est claire: c'est oui. Les jeunes interrogés donnent une large acception à la spiritualité : une démarche de compréhension du monde non matériel, un questionnement sur soi et sur le sens de la vie. Ils estiment cette démarche indispensable dans la vie de tout être humain individu. D'ailleurs, 54 % disent y réfléchir parfois, 36 % très souvent, 8 % rarement. Restent 2 % qui affirment n'y réfléchir jamais.

Non seulement les jeunes se posent des questions, mais nombre d'entre eux les méditent: 48 % de temps en temps et 20 % souvent. Cette activité, pour eux, est vécue essentiellement comme un temps de réflexion, d'intériorisation, de remise en question. Certains y voient aussi un moyen de relaxation. Un tiers des jeunes estiment qu'il s'agit d'un temps de prière et un quart, d'un moment de rencontre avec Dieu.

Quand ils méditent, les jeunes le font d'abord dans la nature, puis dans des lieux de culte, lors d'une activité culturelle, dans les mouvements de jeunesse et même autour d'un verre. Ce n'est pas vraiment étonnant puisque c'est surtout avec les amis proches (92 %) qu'ils échangent sur la spiritualité. Les échanges en famille viennent ensuite (57,1 %).

Spiritualité et religiosité
Les jeunes associent d'ailleurs le questionnement spirituel à des moments d'émotion forts. Par ordre décroissant, ils citent le deuil, l'amour, la maladie, l'amitié et les évènements marquants de l'actualité. À leurs yeux, la spiritualité relève donc clairement de la vie privée et n'est pas associée nécessairement à l'adhésion à une religion. Près de la moitié des jeunes s'affirment croyants et un quart se disent indécis. Parmi les croyants, 78,3 % se réfèrent à la religion catholique, 2,3 % à une autre religion chrétienne et 2,3 % se disent musulmans. 14,1 % des jeunes se déclarent athées ou agnostiques. Enfin, 0,6 % s'affirment bouddhistes. Toutefois, l'enquête met en évidence que la foi et l'importance accordée à la spiritualité ne vont pas de pair avec la pratique religieuse. Si l'Église catholique intéresse la moitié des étudiants, elle n'intéresse pas 34,6 % d'entre eux et en révolte même 14,9 %.

Pourquoi cette distance ? Parce que seuls 0,4 % des étudiants estiment qu'elle rayonne et 15,9 % qu'elle s'adapte, mais 35,2 % la considèrent comme figée et 31,5 % constatent qu'elle connaît une crise. De plus, les jeunes dénient à l'Église le droit de leur dire ce qu'il faut penser, comment il faut agir.

Amour, entraide, justice sociale
Pour tous les jeunes, la tolérance est une valeur essentielle. Ils sont très éloignés des dogmes et même ils s'en méfient, mais accordent une importance considérable aux valeurs. Pour eux, les valeurs chrétiennes prioritaires sont l'amour, le respect des autres, la justice sociale et l'entraide. Ils ont foi dans un au-delà même si, paradoxalement, seuls 16,2 % d'entre eux croient fermement à la résurrection de Jésus.

Les jeunes assument le droit de douter, d'expérimenter, de remettre en question. Ils refusent l'imposition institutionnelle, mais paradoxalement se sentent peu aidés. Ils sont en effet en demande d'informations, de confrontations. 71 % souhaitent que l'éducation organise débats et conférences sur des questions d'ordre spirituel et 73 % qu'elle informe les jeunes sur l'existence d'autres religions.

Une génération qui fantasme

Les enfants nés entre 1984 et 1997 seront à surveiller. La personnalité de ces enfants s'est fixée, s'est cristallisée et déjà, voyez-les se hisser de toutes leurs forces au-dessus de la foule. Leur besoin d'affirmation et d'identification les portent à devenir des adultes avant leur temps. Certes l'âme n'est pas gaie : il semble que toutes les insécurités sociales leur soient tombées dessus. Ces jeunes se méfient.

Il se questionne sur son avenir, il craint, il a peur de manquer d'argent, il a peur des cataclysmes... Il ne veut pas déranger et se renferme : ses parents ne s'entendaient pas, et il a l'impression d'avoir loupé sa jeunesse. À force de vouloir se débrouiller seul, il ne voit pas que d'autres personnes veulent l'aider, et accepter de l'aide serait une démonstration de ce qu'il considère comme une faiblesse. Il ne veut pas montrer combien il souffre, de peur d'être rejeté.

Il sait déjà que la pollution est un terrible ennemi. Il est même au courant que l'espace est rempli alors que pendant longtemps leurs parents et grands-parents croyaient qu'il était vide. Mais ils savent que le ciel est de plus en plus envahi par des satellites dont quelques-uns sont en pièces détachés, débris circulant dans les couloirs interplanétaires. Ces enfants sont au coeur de toutes les informations. Ils sont nés internautes.

Le savoir qu'ils croient détenir ne les exempt pas des tourments intérieurs. Plusieurs réactions à l'angoisse et à l'insécurité sociale, qui ont dangereusement pris de l'ampleur ces dernières années, les guettent. Lorsqu'on ne laisse pas ces enfants exprimer librement leurs émotions, il deviennent dépressifs, amorphes, ou bien ils se révoltent et détruisent tout ce qui leur tombe sous la main. Enseignez-leur l'ambition et le succès, ils écraseront quiconque se placera en travers de leur route. Incompris de leurs parents, les uns se réfugieront dans le silence et la solitude, les autres se joindront à des bandes de petits bandits.

Ces enfants ont besoin du support et de l'amour de leurs parents pour grandir sainement.

Ces enfants sont étrangement nés eux-mêmes avec une âme de parent. Ils sont malheureusement nombreux à avoir été témoins de la séparation de leurs parents et souvent, l'un des deux, la mère ou le père, s'est comporté sur le plan psychologique en irresponsable, en souffre-douleur... en enfant.

Conséquemment, ce jeune s'est senti obligé de se substituer au parent manquant ou immature, et s'est retrouvé trop tôt avec une responsabilité qui l'a éloigné du bonheur et de l'innocence d'être enfant. Il essaie de se comporter en adulte avec ses bons et ses mauvais comportements. Beaucoup trop de parents qui, sans s'en rendre compte, traitent leurs enfants en adulte et leur demandent de comprendre leurs problèmes émotionnels ou matériels. Ces jeunes finissent par se croire responsables des difficultés que vivent leurs parents.

Beaucoup de ces enfants auront un demi-frère ou une demi-soeur et, là encore, les nouveaux couples formés auront tendance à donner au jeune un rôle d'aîné, de guide, avant même qu'il ait l'âge d'endosser une telle responsabilité. Peuvent alors se dessiner des personnalités hyperprotectrices et contrôlantes; ce qui, une fois adulte, nuira à leur épanouissement. Non seulement leur liberté sera-t-elle limitée, mais ils imposeront à ceux qui les entourent la même prison qu'on a construit pour eux.

Pour que ces jeunes puissent vivre sainement et le plus heureusement possible, leurs parents devront être attentifs à leurs changements d'humeur dès que surviendra un changement important dans la famille. Les derniers-nés, ceux qu'on envoie à la garderie, devront, au moins, retrouver l'intimité et la complicité parentale dès leur retour à la maison parce que, plus que les autres enfants, ceux-ci se sentent abandonnés ou craignent l'abandon. Ne perdons pas de vue que ces jeunes sont nés avec une âme de chef. Ce sont des dirigeants à l'esprit pratique. Ils sont affamés de connaissances utiles. Et s'ils aiment bien les contes de fée, ils préfèrent d'abord et avant tout un savoir qu'ils pourront employer un jour pour une plus grande efficacité dans le secteur où ils auront choisi de se réaliser.





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