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Prophète Orphelin

*ÉCHOUAGE*


Orphelin

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Message transmis le 16 mars 2008 :

Le Bouddha fut très supérieur au bouddhisme actuel. Bouddha fut un grand être humain, et même un prophète pour son peuple, mais un prophète orphelin. De bonne heure, il perdit de vue son Père spirituel, le Père qui est aux cieux. Son expérience fut tragique. Il essaya de vivre et d'enseigner en tant que messager de Dieu, mais sans Dieu. Bouddha dirigea son navire sauveur droit vers le port de sécurité, jusqu'à l'entrée du havre de salut des mortels, et là, à cause de plans de navigation erronés, le bon navire s'échoua à la côte. Il y est resté pendant de nombreuses générations, immobile et presque irrémédiablement bloqué. Beaucoup de ses fidèles sont restés sur ce bateau pendant toutes ces années. Ils vivent à portée de voix des eaux tranquilles du havre, mais refusent d'y entrer parce que la noble embarcation du bon Bouddha a eu la malchance d'échouer juste à côté du port. Les peuples bouddhistes n'entreront jamais dans cette rade à moins d'abandonner le navire philosophique de leur prophète et de saisir son noble esprit. Si son peuple était resté fidèle à l'esprit de Bouddha, il y a longtemps qu'il serait entré dans son havre de tranquillité d'esprit, de repos d'âme et d'assurance de salut.

Bouddha connaissait Dieu en esprit, mais ne réussit pas à le découvrir clairement en pensée; les Juifs découvrirent Dieu en pensée, mais manquèrent dans une large mesure de le connaître en esprit. Aujourd'hui, les Bouddhistes pataugent dans une philosophie sans Dieu, tandis que les juifs sont pitoyablement enchainés à la crainte d'un Dieu et dépourvu d'une philosophie révélatrice de vie et de liberté. Les bouddhistes ont une philosophie sans Dieu; le judaïsme a un Dieu, mais sont largement dépourvus d'une philosophie de vie qui y soit reliée. Quand au christianisme actuel, il lui faudra redécouvrir le vraie évangile du Fils Créateur... Faute d'avoir la vision de Dieu en tant qu'esprit et Père, Bouddha n'a pas réussi à apporter dans son enseignement l'énergie morale et la force motrice spirituelle qu'une religion doit posséder pour changer une race et élever une nation.

Les religions des êtres humains ne s'instituent pas. Elles se développent au cours de longues périodes de temps, tandis que les révélations de Dieu éclatent comme des éclairs sur terre dans la vie des êtres humains qui révèlent Dieu à leurs semblables.

Certains pensent que Jésus fut un prophète, d'autres répondent d'un ton somnolent qu'il y en a d'autres...

Quand à créer une nouvelle religion universelle, il en fut et il en est toujours ainsi : quand l'imagination humaine éclairée et réfléchie, spirituellement instruite et guidée, cherche, de tout coeur et avec désintéressement, à faire ou à être quelque chose, elle devient créative dans une mesure appréciable selon le degré de consécration du mortel à faire divinement la volonté du Père. Quand l'être humain s'associe à Dieu, de grands évènements peuvent se produire et se produisent effectivement.

Gautama Siddharta

Contemporain de Lao-Tseu et de Confucius en Chine, un autre grand instructeur de la vérité surgit aux Indes. Gautama Siddharta naquit au sixième siècle avant le Christ dans la province du Népal, au nord de l'Inde. Ses disciples le présentèrent, plus tard, comme le fils d'un chef fabuleusement riche, mais, en vérité, il était l'héritier présomptif d'un insignifiant chef de clan qui régnait par consentement tacite sur une petite vallée montagneuse isolée, dans le sud des Himalayas.

Après avoir pratiqué le yoga en vain pendant six ans, Gautama formula les théories qui devinrent la philosophie du bouddhisme. Siddharta engagea une lutte résolue mais infructueuse contre le système grandissant des castes. Autour de ce jeune prince prophète, règnait une atmosphère de sincérité sublime et de générosité extraordinaire qui séduisait beaucoup les êtres humains de cette époque. Il se détourna de la pratique consistant à rechercher le salut individuel par des afflictions physiques et des souffrances personnelles, et il exhorta ses disciples à apporter son évangile au monde entier.

Au milieu de la confusion et des pratiques cultuelles excessives de l'Inde, les enseignements plus sains et plus modérés de Gautama arrivèrent comme un soulagement qui faisait du bien. Il dénonça les dieux, les prêtres et leurs sacrifices, mais lui non plus ne réussit pas à percevoir la personnalité de l'Un Universel. Ne croyant pas à l'existence d'âmes humaines individuelles, Gautama lutta, bien entendu vaillamment, contre la croyance à la transmigration des âmes, honorée depuis des siècles. Il accomplit un noble effort pour délivrer les êtres humains de la peur afin d'obtenir qu'ils se sentent à l'aise et chez eux dans le grand univers, mais il ne réussit pas à leur montrer le sentier conduisant au véritable foyer céleste des mortels ascendants – le Paradis – et au service croissant de l'existence éternelle.

Gautama était un vrai prophète et, s'il avait prêté attention aux instructions de l'ermite Godad, il aurait pu soulever toute l'Inde par l'inspiration qu'aurait apporté un renouveau de l'évangile de Salem prônant le salut par la foi. Godad descendait d'une famille qui n'avait jamais perdu les traditions des missionnaires de Melchizedek.

Gautama fonda son école à Bénarès, et ce fut durant sa seconde année qu'un élève, Bautan, communiqua à son maitre les traditions des missionnaires de Salem au sujet de l'alliance de Melchizedek avec Abraham. Bien que Siddharta n'eût pas une conception très claire du Père Universel, il prit une position avancée sur le salut par la foi – la simple croyance. Il la déclara devant ses disciples et commença à envoyer ses élèves au dehors, par groupes de soixante, pour proclamer aux peuples de l'Inde « La bonne nouvelle du salut gratuit : que tous les êtres humains, humbles ou élevés, peuvent atteindre la félicité par la foi en la droiture et la justice. »

La femme de Gautama croyait à l'évangile de son mari et fut la fondatrice d'un ordre de nonnes. Son fils devint son successeur et étendit beaucoup le culte ; il saisit bien l'idée nouvelle du salut par la foi, mais chancela plus tard au sujet de la faveur divine obtenue par la foi seule, comme l'enseignait l'évangile de Salem. Dans sa vieillesse, les paroles qu'il prononça avant de mourir furent les suivantes : « Soyez l'artisan de votre propre salut. »

Dans ce qu'il avait de mieux, l'évangile de salut universel, proclamé par Gautama et dépourvu de sacrifices, de tortures, de rites et de prêtres, était une doctrine révolutionnaire et stupéfiante pour son époque. Il fut étonnamment près de constituer une renaissance de l'évangile de Salem. Il apporta du secours à des millions d'âmes désespérées et, malgré ses ridicules altérations au cours des siècles ultérieurs, cet évangile subsiste encore comme l'espoir de millions d'êtres humains.

Siddharta enseigna beaucoup plus de vérités qu'il n'en survécut dans les cultes modernes portant son nom. Le bouddhisme moderne ne représente pas plus les enseignements de Gautama Siddharta que le christianisme ne représente les enseignements de Jésus de Nazareth.

Pour devenir bouddhiste, on faisait simplement profession publique de foi en récitant le Refuge : « Je prends mon refuge dans le Bouddha ; je prends mon refuge dans la Doctrine; je prends mon refuge dans la Fraternité. » Le bouddhisme prit naissance dans une personnalité historique, et non dans un mythe. Les fidèles de Gautama l'appelaient Sasta, qui signifie maitre ou instructeur. Bien qu'il n'eût émis de prétentions suprahumaines ni pour lui ni pour ses enseignements, ses disciples commencèrent de bonne heure à l'appeler l'illuminé, le Bouddha, et plus tard Sakyamouni Bouddha.

Siddharta ne croyait guère à l'immortalité de la personnalité humaine ; sa philosophie n'apportait qu'une sorte de continuité fonctionnelle. Il ne définit jamais clairement ce qu'il entendait inclure dans la doctrine du Nirvana. Le fait que l'on pouvait théoriquement en faire l'expérience durant l'existence terrestre indiquerait que le nirvana n'était pas considéré comme un état d'annihilation complète. Il impliquait une condition d'illumination suprême et de félicité céleste où toutes les chaines attachant l'être humain au monde matériel avaient été rompues; on était libéré des désirs de la vie de mortel et délivré de tout danger de devoir faire l'expérience d'une nouvelle incarnation.

D'après les enseignements originels de Gautama, le salut s'obtient par l'effort humain, en dehors de l'aide divine; il n'y a place ni pour la foi libératrice ni pour des prières à des puissances suprahumaines. Dans sa tentative pour minimiser les superstitions de l'Inde, Gautama s'efforça de détourner les êtres humains des bruyantes prétentions du salut par la magie. Mais, en faisant cet effort, il laissa à ses successeurs une porte grande ouverte leur permettant de mal interpréter son enseignement et de déclarer que tous les efforts humains pour aboutir sont déplaisants et douloureux. Ses disciples négligèrent le fait que le bonheur suprême est lié à la poursuite enthousiaste et intelligente de buts méritoires, et que ces accomplissements constituent le vrai progrès dans la réalisation cosmique de soi.

La grande vérité de l'enseignement de Siddharta fut sa proclamation d'un univers de justice absolue. Il enseigna la meilleure philosophie athée qui ait jamais été inventée par un mortel; elle était l'humanisme idéal et ôta fort efficacement toute base aux superstitions, aux rites magiques et à la peur des fantômes et des démons. La grande faiblesse de l'évangile originel du bouddhisme fut qu'il ne créa pas une religion de service social désintéressé. Pendant longtemps, la fraternité bouddhiste ne fut pas une confrérie de croyants, mais plutôt une communauté d'élèves-maitres. Gautama leur interdit de recevoir de l'argent et chercha, par ce moyen, à empêcher la croissance de tendances hiérarchiques. Gautama lui-même était hautement social et, en vérité, sa vie fut plus grandiose que ses sermons.

Certains de ses disciples ultérieurs enseignèrent que l'esprit de Sakyamouni Bouddha revenait périodiquement sur terre comme un bouddha vivant, ouvrant ainsi la voie à une perpétuation indéfinie des images de Bouddha, des temples, des rituels et des faux " bouddhas vivants". C'est ainsi que la religion du grand protestataire indien finit par se trouver enchainée dans ces mêmes pratiques cérémonielles et incantations rituelles qu'il avait précisément combattues avec tant d'intrépidité et dénoncées avec tant de courage.

Le grand progrès apporté par la philosophie bouddhique consista à comprendre que toute vérité est relative. Par le mécanisme de cette hypothèse, les Bouddhistes ont pu concilier et mettre en corrélation les divergences intérieures de leurs propres écrits religieux, ainsi que les divergences entre ceux-ci et beaucoup d'autres. On enseignait que les petites vérités étaient faites pour un mental étroit, et les grandes vérités pour un mental large.

L'évangile originel de Siddharta, tel que ses disciples l'interprétaient, comportait une grande limitation parce qu'il essayait de dégager complètement le moi humain de toutes les restrictions de la nature mortelle par la technique consistant à isoler ce moi de la réalité objective. Or, le véritable épanouissement cosmique de soi résulte de l'identification de soi avec la réalité cosmique et avec le cosmos fini d'énergie, de mental et d'esprit, limité par l'espace et conditionné par le temps.

La diffusion du bouddhisme

Le bouddhisme prospéra parce qu'il offrait le salut par la croyance en Bouddha, l'illuminé. Il était plus représentatif des vérités de Melchizedek que tout autre système religieux pratiqué en Asie orientale. Mais le bouddhisme ne se répandit pas beaucoup en tant que religion jusqu'au jour où un monarque de basse caste, Açoka, l'adopta pour sa propre protection ; après Ikhnaton en Égypte, Açoka fut l'un des plus remarquables chefs civils entre l'époque de Melchizedek et celle de Micaël. Il bâtit un grand empire indien grâce à la propagande de ses missionnaires bouddhistes. Au cours d'une période de vingt-cinq ans, il éduqua plus de dix-sept-mille missionnaires qu'il expédia jusqu'aux plus lointaines frontières du monde connu. En une seule génération, il fit du bouddhisme la religion dominante de la moitié de la terre. Il prit bientôt pied au Tibet, au Cachemire, à Ceylan, en Birmanie, à Java, au Siam, en Corée, en Chine et au Japon. D'une manière générale, ce fut une religion considérablement supérieure à celles qu'elle supplanta ou rehaussa.

La diffusion du bouddhisme dans toute l'Asie à partir de son foyer aux Indes est l'une des plus palpitantes histoires de consécration spirituelle et de persévérance missionnaire d'êtres humains sincèrement épris de religion. Non seulement ceux qui enseignaient l'évangile de Gautama bravèrent les périls des routes des caravanes terrestres, mais ils firent face aux dangers des mers de Chine, tandis qu'ils poursuivaient leur mission sur le continent asiatique, apportant à tous les peuples le message de leur foi. Toutefois, ce bouddhisme n'était plus la simple doctrine de Gautama ; c'était l'évangile rendu miraculeux qui faisait de lui un dieu. Plus le bouddhisme s'éloignait de son berceau des hautes terres de l'Inde, plus il devenait différent des enseignements de Gautama, et plus il ressemblait aux religions qu'il supplantait.

Plus tard, le bouddhisme fut très influencé par le taoïsme en Chine, le shinto au Japon et le christianisme au Tibet. Aux Indes, après un millénaire, le bouddhisme ne fit plus que s'étioler et mourir. Il se brahmanisa et, plus tard, baissa lâchement pavillon devant l'islam ; en même temps, dans une grande partie du reste de l'Orient, il dégénéra en un rituel que Gautama Siddharta n'aurait jamais reconnu.

Le bouddhisme est aujourd'hui une religion vivante et croissante parce qu'il réussit à conserver bon nombre des plus hautes valeurs morales de ses adhérents. Il facilite le calme et le contrôle de soi, augmente la sérénité et le bonheur, et contribue beaucoup à empêcher le chagrin et le deuil. Ceux qui croient à cette philosophie vivent des vies meilleures que beaucoup de ceux qui n'y croient pas.

Le Tibet

Le Tibet avant l'arrivée de la Chine n'était pas franchement le paradis sur terre. Le Tibet des moines était une dictature moyenâgeuse, que seules la passion et l'attirance des occidentaux pour ces philosophies soi-disant tolérantes, continuent de défendre. La doctrine religieuse imposait la supériorité du riche seigneur sur le paysan misérable, sur l'esclave et la femme. Cette idéologie justifiait un ordre de classe féodal. Tout était prétexte à de lourdes taxes, et les dettes passaient du père au fils et au petit-fils, et si on ne payait pas, on était réduit en esclavage. Les punitions favorites étaient entre autres d'arracher la langue, l'oeil, ou de sectionner le tendon du genou, le seigneur avait droit de vie et de mort sur ses serfs.

Dès le 13ème siècle, le Tibet est annexé à la Chine par les Mongols. Au 17ème siècle, il est une des dix-huit provinces de l'empire chinois. Fin 19ème, l'empire britannique envahit le Tibet et y installe ses comptoirs de commerce. En 1949, le Département d'Etat US déclare le Tibet partie intégrante de la Chine. Mais tout change quand la Chine devient communiste avec Mao Zedong. Le même Département d'Etat US écrit alors : « Le Tibet est stratégiquement important, il est dans notre intérêt de ne pas le reconnaître comme faisant partie de la Chine »

Lorsqu'en 1951 l'Armée Populaire de Libération entre au Tibet, Le dalaï-lama écrit un poème à la gloire du président Mao Zedong. L'accord prévoit le maintien du servage au Tibet sous l'autorité du Dalaï-Lama. Les monastères, le Dalaï-Lama, les moines et les seigneurs garderont plus de 70% des terres. Pékin gèrera les questions militaires et les relations internationales. Le dalaï-lama reçoit le poste de vice-président du parlement de toute la Chine. Mais en 1959, Pékin décide de profondes réformes, les tortures et le servage sont supprimés, une réforme agraire est engagée : le Dalai-Lama et les seigneurs s'y opposent soutenus par l'occident.

Le principal financier du mouvement tibétain est le gouvernement des Etats-Unis, aujourd'hui les versements sont plus discrets, à travers diverses organisations de couverture. Les USA considèrent la Chine comme leur principal ennemi, ils encouragent donc les séparatismes ainsi que toutes sortes d'oppositions, et ils soutiennent par des campagnes médiatiques toutes actions pro-tibétaines.

Le Tibet est une région autonome, où la culture et la religion se pratiquent librement. La langue tibétaine est parlée et écrite dans des écoles tibétaines. La Chine a publié d'importantes collections de livres, des journaux et des magazines en langue tibétaine. Le plus grand risque pour la culture tibétaine comme pour beaucoup d'autres cultures est la modernité qui efface et modifie ses traditions.

Une solution pour le retour du Dalaï Lama au Tibet serait que cette région de culture tibétaine soit clairement laïque au sens politique, tel qu'on le comprend en France, et que la religion bouddhiste soit confinée dans la sphère privée. Soutenir et prôner un retour du Dalaï Lama en tant que chef spirituel et politique, et donc le retour à une théocratie, est totalement absurde. L'on peut être contre le régime chinois, sans vouloir le retour d'une dictature religieuse !

Le Dalai Lama, qui se présente comme « le gouvernement en exil » avec le soutien des occidentaux, réclame un "Grand Tibet" : le double de celui où les dalaï-lamas exerçaient le pouvoir politique local dans le passé. Ce territoire incorporerait des provinces dans lesquelles on trouve des minorités tibétaines mélées à d'autres nationalités. Le dalaï-lama a déclaré au Congrès américain en 1987 : « 7,5 millions de colons doivent partir. » Mais, il ne s'agit pas de colons, car la population de ces régions est mixte depuis des siècles, il s'agit plutôt de purification ethnique. Il s'agit en fait de faire ce que toutes les puissances coloniales ont cherché à faire depuis 150 ans : démembrer la Chine...





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